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En confinant Goma, la prostitution se déconfine !

Pendant les périodes de confinement de Goma, les filles, surtout étudiantes se plaignent de leur situation difficile. Certaines d’entre elles qui se prennent souvent en charge n’arrivent plus à satisfaire leurs besoins physiologiques suite à la fermeture des milieux des rendez-vous : (bistrots, hôtels, etc.) et n’ont plus la chance de rencontrer leurs clients.

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la prostitution se pratique à grande échelle. Selon notre enquêteuse, « on sera surpris de nombre elevé des grossesses vers la fin du troisième mois de cette situation ».
Giselle M, une étudiante en informatique affirme, qu’elle se sent libre, pendant ce temps de confinement. Car les etudes l’empêchaient de faire ses déplacements sexuels. Elle regrette tout de meme que, ses copins n’aient pas d’argent à l’offrir car le confinement a confiné également leurs poches. Cette fille déclare que, malgré le confinement on se fixait des rendez-vous dans les coins perdus, car certains hôtels etaient ouverts, en cachette mais les heurs etaient limitées pour éviter d’etre attrapé par les elèments de la Police.

Pour d’autres filles, faire deux jours sans sortir a des impacts dans leur vie psychophysiologique, c’est pourquoi elles disent choisir quel type d’amis aller rendre visite. « Comme on a fermé tous les endroits de rendez-vous, mes copains me rejoignent chez nous, car j’ai peur d’aller les visiter chez eux, ils peuvent bondir sur moi. C’est pourquoi, je choisi les genres d’amis à rendre visite, malgré que, je connais une crise financière sans précèdent, difficile meme de m’acheter les unités car je n’ai pas d’argent ».

Une habitude inhabituelle
Rester à la maison n’est pas chose facile pour un bon nombre des etudiantes, au debut c’était impossible, actuellement la situation devient commode. Pour cette deuxieme fille, rester à la maison, pendant trois mois, c’est un calvaire car il lui était impossible pour deux jours. Malgré cela, d’autres filles disent que, la situation n’a pas empêchée d’aller voir leurs amis chez-eux car le temps de confinement devenait de plus en plus long pour la satisfaction de leurs besoins sexuels.

Pour les filles qui n’ont pas l’habitude de sortir comme Evelyne Abbas, étudiante à l’UNIGOM, se contentent de dormir profondément et de manger à leur faim. « J’ai bien passé ce temps de confinement, car je me reveille quand je veux et je mange quand je veux ». Pour se détresser, explique-t-elle, elle cause avec son petit ami, qui vit à Lubumbashi au téléphone. Cette fille regrette tout simplement la fermeture des universités et des églises, surtout de la chorale, ses principales occupations.

Mariam G1 SIC

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