La SADD, préoccupée de l’entrepreneuriat des jeunes et des opprimés !
« Si quelqu’un ne veut pas travailler qu’il ne mange pas », dit la Bible. Ce principe est la devise de la « SADD » (Solidaire Action pour le Droit et le Développement) qui prône sur : « le droit, l’humanisme et le développement ». Dans sa vision caritative, la SADD est allée s’entretenir avec les concasseurs dans le territoire de Nyiragongo, où l’adhésion aux projets de cette organisation était la préoccupation de toutes les parties prenantes.
« Nous remercions beaucoup la SADD qui se range du côté des personnes vulnérables : les orphelins, les veuves, une catégorie des personnes négligées dans la communauté ». Cette organisation se donne pour les vulnérables et les négligés vivant dans les conditions inimaginables dans notre entité. Que la « SADD » émerge et qu’il vive longtemps », déclare madame Kataliko Claudine, une femme ayant pris part à l’activité du 07 octobre dernier.
Dans son optique de l’humanisme le même jour, la SADD a poursuivi sa mission de supervision du projet de l’élevage des volailles en visitant les personnes du troisième âge œuvrant au sein du groupe « WA MAMA TUPENDANE », (les mamans aimons-nous, NDLR), cette association qui regroupe les membres qui soutiennent les actions philanthropiques de Maman Sarah Lusenge, dans la Commune de Karisimbi.
Satisfactions aux bénéficiaires
Madame Sarah Lusenge, la Program Manager de la SADD reste convaincue, comme les bénéficiaires de ses actions de mettre la personne au centre de toutes ses activités, surtout les démunis pour leur relèvement communautaire. Accompagnée de toute son équipe, les membres d’un autre groupe ont assisté avec satisfaction à la séance de fabrication des savons et des bavechlores au sein du groupe PAIMAN.
Les apprenants à la fabrication du savon restent reconnaissant à cette organisation qui leur appris l’autofinancement et l’auto-prise en charge, grâce à la vision pratique de Madame Sarah Lusenge qui veut voir les personnes vulnérables de subvenir d’elles-mêmes à leurs besoins.
« Avec Maman Sarah Lusenge, nous sommes aujourd’hui capables de fabriquer les savons liquides et nous pouvons nous prendre en charge. C’est le cadeau le plus précieux qu’on peut donner aux personnes que l’on aime », témoigne avec enthousiasme, Lwamba Malisi Jolie, membre du PAIMAN.
Ces actions de la SADD resteront dans la tête de ses bénéficiaires qui disent que la « SADD » laisse ses empruntes dans leur vie parce qu’ils peuvent maintenant se prendre en charge et devenir utiles dans leurs entités », indique une femme bénéficiaire.
Suite des visites humanitaires
Toujours par le biais du Program Manager de la SADD, l’équipe est allée se rendre compte des conditions de vie des enfants de l’orphelinat OSHOH, ceci après avoir eu un bon moment de partage avec les fidèles de l’Église dans le Quartier NGANGI. Dans ses échanges, Madame Sarah Lusenge a passé le message de la conscientisation des jeunes de ce quartier de prendre conscience à toutes leurs actions tout en se méfiant de toutes antivaleurs.
Pour concrétiser l’aspect humaniste de son organisation, la SADD est allée d’abord au chevet d’un membre de l’association des amis de Maman Sarah éprouvé pour lui apporter la compassion et la consolation. En suite les personnes du troisième âge, membres de l’OPRC ont bénéficié de la visite humaniste de madame
Sarah LUSENGE à l’institut MAJENGO dans la Commune de Karisimbi.
Pour clore sa journée en beauté, la SADD a offert et distribué des kits scolaires aux orphelins et aux membres des amis de Mamans Sarah de l’axe Ndosho regroupés au sein de la plus grande association qui soutient les actions de Madame Sarah Lusenge « HDF ».
Rafiki Adolphe
